La Provence en chiffres
La Provence c'est chaque jour
117 007 exemplaires diffusés pour 601 000 lecteurs chaque jour. Le lectorat se décline de la façon suivante: 52 % sont des hommes pour 48 % de femmes. Les 15-34 ans représentent 20 %, les 35-49 ans représentent 19 % et les 50 ans et plus représentent 61 %. La Provence c'est aussi 49 660 abonnés dont 10 480 par la Poste et 39 180 par portage. Chaque jour, les véhicules de livraison parcourent 21 250 km (soit la distance Marseille-Los Angeles) pour livrer les 2 210 points de vente.
Trois départements: Les Bouches du Rhône, le Vaucluse et les Alpes de Hautes-Provence. Dès la mi-septembre, 10 éditions seront publiées : 7 éditions dans les Bouches du Rhône (Marseille, Aix-Pays d’Aix, Aubagne-La Ciotat, Arles, Salon, Vitrolles-Marignane, Martigues-Istres), 2 éditions dans le Vaucluse (Grand Vaucluse, Sud Vaucluse) et une édition Alpes.
source : www.laprovence.com
Le Groupe CEJIP et La Provence
Fier de son partenariat avec le Journal La Provence le Groupe CEJIP a passé la journée auprès de l’équipe CEJIP Entretien orchestré par Robert ZIGLIANI. Tout au long de cette journée les notions de sécurité, de propreté et d’organisation ont été abordées.
Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre métier ?
Ce que j’aime le plus ce sont les relations humaines. J’ai la chance d’avoir une équipe au top, agréable et efficace. Mon équipe est la première raison pour laquelle j’aime ce métier, mais le contact client reste pour moi très important. J’aime comprendre les attentes du client et le satisfaire au mieux avec la prestation qu’on lui propose.
Pouvez-vous nous décrire une journée type ?
Tout d’abord ma journée, tout comme celle de mon équipe, démarre à 5 heures du matin. Dans un premier temps un tour d’équipe est fait, c’est-à-dire que je m’assure que chacun bénéficie des bonnes conditions de travail afin qu’ils puissent effectuer leurs tâches sans problème. Chaque matin sur le tableau situé dans mon bureau, l’ordre du jour y est apposé.
Pour ma part je fais un tour de vérification sur la qualité de la prestation, c’est-à-dire que je m’assure que tous les bureaux du Journal La Provence soient correctement nettoyés. Une fois le tour terminé, je passe aux travaux effectués par moi-même : nettoyage des sols avec l’autolaveuse, les vitreries et enfin les douches. Pour finir, la dernière tâche c’est d’assurer la permanence puisque je m’occupe également des agences annexes du Journal La Provence.
Quelles sont vos responsabilités ?
Tout d’abord j’ai la responsabilité de mon équipe, je dois veiller à ce que les normes de sécurité soient bien respectées de tous, de façon à ce que personne ne se blesse. Ensuite je suis responsable de la qualité de la prestation effectuée. Pour finir je suis responsable de la satisfaction du client.
Quelles qualités sont requises pour votre métier ?
Je pense qu’il est nécessaire d’avoir beaucoup de respect pour les autres, le personnel, le client et toutes les personnes que l’on peut être amené à croiser sur le lieu de travail. Ensuite je dirais qu’il faut être réactif, car c’est un métier où il faut savoir prendre parfois des décisions rapidement.
Pour finir, il faut garder à l’esprit qu’il est important de donner des objectifs à son équipe pour que la qualité de la prestation et la satisfaction client soient toujours présentes.
En quoi votre métier vous motive-t-il ?
Donner le confort, la propreté et le sourire aux employés du Journal La Provence c’est une véritable motivation. Ensuite je l’ai déjà dit précédemment, mon équipe reste également une motivation.
Pensez-vous que votre métier a une utilité dans la société ?
Bien sûr, car il est important de pouvoir travailler dans la propreté que ce soit sur le lieu de travail, mais également lorsqu’on est sur des espaces extérieurs. Je ne connais personne qui aime travailler dans la saleté.
Est-il facile de trouver un emploi dans ce métier ?
Oui effectivement, c’est un secteur qui recrute énormément.
Existe-t-il des perspectives d’évolution dans ce métier ? lesquelles ?
Oui, d’autant plus que cette évolution peut être rapide, du moins cela va dépendre de la motivation de la personne. On peut commencer en tant qu’agent d’entretien, devenir chef d’équipe, voire même chef de secteur.
Est-ce une profession d’avenir ?
Je pense que oui, car il y’aura toujours besoin d’entretenir des locaux, donc on peut dire que c’est une profession d’avenir.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui souhaitent se diriger vers cette profession ?
C’est d’être méticuleux, courageux et ponctuel.
Quelles sont les contraintes du métier ?
Je dirais que les horaires peuvent être contraignantes car il faut se lever très tôt.
Quels sont les avantages du métier ?
C’est un beau métier avec de belles valeurs, on bénéficie d’un contact humain qui pour moi reste un véritable avantage. On a le sentiment d’être important pour les entreprises car on leur apporte de la valeur ajoutée.
Que pouvez-vous nous dire sur la notion de sécurité ?
Au sein du Groupe CEJIP, nous utilisons les équipements de protection individuelle (EPI) qui sont un ensemble de dispositifs ou moyens destinés à être portés par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa sécurité ou sa santé, principalement au travail.
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